Don Carlos de Molina et Sánchez, Maître du Tuna Vagabond et très Illustre Universitaire du District de la Murcie, prend du temps déjà en insistant pour ce que très illustres et des bons marcheurs tunos eussent l'intention de me nommer Grand Maître du V Concours International de Tunas "Barrio del Carmen", à célébrer vers le milieu du juillet - un dieu nous prend avoués s'ils continuent ces chaleurs - de l'année de Monsieur de 2001.

Devant son insistance, j'ai réfléchi quels pourraient être mes mérites pour être digne d'une charge si honorable, et il ne venait pas de donner avec eux. Il serait, j'ai pensé, comme reconnaissance pour les avoir invités à quelques taches de bière dans El Corte Inglés à l'occasion du Jour de San Valentín, bien que j'eusse envie peu nombreuse une chose pour telle distinction. Ou il pourrait consister en ce qu'ils auraient appris que dans mes années jeunes, en étant étudiant de Droit, j'ai résidé au Collège le Plus grand "Ruiz d'Alda", carmélite jusqu'à la moelle, où je me suis amusé du tuna de cette institution universitaire en donnant le galère par les rues du Quartier, d'une permission du gouverneur de tour. Oui, du gouverneur de tour. Parce que dans ces années il fallait demander une permission à la préfecture dans quelques instances qui finissaient avec la phrase toujours hypocrite et connue de "c'est une grâce que nous espérons obtenir de V.I. que le Dieu garde beaucoup d'années". Le gouverneur dans une question ne devait pas le voir très clair, parce qu'il demandait toujours :" Et ce garçon bas suit-il avec vous et un peu esmirriado des Fermes que la mandoline espagnole touche si mal ?". Mes collègues avaient à baisser la tête et à lui dire, pour qu'il leur accordât la permission qu'ils avaient jetée me, et duement de plus, la semaine précédente. Tout de suite, ils me plaçaient au milieu de ceux-ci pour que je ne pusse pas me voir. Ceux-là ont été quelques années de souvenir heureux, sous la baguette de chef de Paco Cremades, aujourd'hui un directeur de l'École de Tourisme.

Cette nomination de Grand Maître du Concours de Tunas "Barrio del Carmen" me fait avoir la nostalgie un temps insouciant et heureux. Comme il me le fait rappeler la mandoline espagnole que mon père m'a offerte et qui m'est déjà oubliée frapper. Je désire au Concours International de Tunas "Barrio del Carmen" une longue vie. Et à cher Barrio par excellence : combien de tours de cochon m'ont dépensé par ses rues les ventajistas vieux pour mon étape de nouveau dans le "Ruiz de Alda"! - des fêtes heureuses.